Bonjour à tous aujourd’hui je vais vous parler de la pêche des perches au D-incite 53 armé avec des hameçons simples avec ardillons écrasés.
De nos jours cette technique est très controversée, beaucoup trop de louper au ferrage, trop de décroches etc…
Pourtant la pêche avec des hameçons simples offre plusieurs
avantages : cela permet dans un premier temps de moins s’accrocher,
ensuite cela apporte plus de discrétion dans la présentation du leurre dans
l’eau et cela n’altère en rien sa nage contrairement aux idées reçues.
Une fois la touche enregistrée
et le poisson ferré le gros avantage des hameçons simples (ardillons écrasés)
est la faciliter de décrochage de l’hameçon qui en général est piqué
proprement sur le bord de la gueule du
poisson, ce qui veut dire aussi que le poisson est moins abîmé par les
hameçons.
Avantage qui, pour moi, est en accord avec le slogan Smith « we aim to please mother nature »
Avantage qui, pour moi, est en accord avec le slogan Smith « we aim to please mother nature »
Cette pratique est une valeur sure pour moi, et je sais que
je ne serais jamais déçu dans son utilisation car environ 80 % de mes prises
sont assurés le reste étant du a un mauvais ferrage de ma part.
Pour pousser encore plus loin je pourrais même enlever le premier hameçon simple située sous le ventre du leurre car comme on le voit sur les photos les poissons sont piquer avec l’hameçon caudale du leurre, cela pourrais amener encore plus de discretion sur des pêches ou le poisson est très méfiant.
Pour pousser encore plus loin je pourrais même enlever le premier hameçon simple située sous le ventre du leurre car comme on le voit sur les photos les poissons sont piquer avec l’hameçon caudale du leurre, cela pourrais amener encore plus de discretion sur des pêches ou le poisson est très méfiant.
La pêche : hameçons simples, ardillons écrasés est une pratique
respectueuse et pourtant peu répandu a l’heure actuelle, alors j’encourage toute
personne ne la pratiquant pas à essayer. Qui ne tente rien n’a rien...
Paul Gauthier.
Paul Gauthier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire